Cagnàz, la nouvelle série crime captivante d’Alessandro Roja et Guido Caprino

Les récents tournages de Cagnàz, la nouvelle série policière du réalisateur Alessandro Roja, ont débuté ces jours-ci. Il s’agit d’une coproduction entre Rai Fiction et Garbo Produzioni, produite par Maite Carpio, en collaboration avec Rai Com et soutenue par la Région Émilie-Romagne à travers la Film Commission de la région. Le rôle principal de Cagnàz est interprété par Guido Caprino, aux côtés de Eugenio Franceschini, Dora Romano et Sergio Romano.

Premiers aperçus de la série policière Cagnàz

Cagnàz suit les enquêtes de l’inspecteur Marco Cagnani, surnommé “Cagnàz”, un policier anticonformiste mais brillant qui vit selon ses propres règles. Cagnàz connaît tous les secrets de la Riviera Romagnole ainsi que le crime local mieux que quiconque. Élevé parmi les sauveteurs et les pêcheurs, il habite sur son bateau amarré dans le port de Rimini, en compagnie de son fidèle chien Bobmarley, un ancien chien de drogue. Sur le plan professionnel, il est accompagné de Roberto Ossani (interprété par Eugenio Franceschini), un collègue strict et initialement méfiant, avec qui il forme un duo aussi improbable qu’efficace. Bien qu’ils soient différents sur de nombreux aspects, avec des intuitions brillantes d’un côté et des comportements irrévérencieux de l’autre, ils parviendront à résoudre des affaires tout en mettant de côté leurs divergences, unis par une affection résignée et une amitié sincère – bien que inavouée. Cependant, Cagnàz cache une obsession : arrêter Maria Caterina Picciaferro, surnommée “la Zia” (interprétée par Dora Romano), la redoutable chef de la ’Ndrangheta. Entre crimes et humour, l’affrontement sera inévitable.

La série est composée de 8 épisodes de 50 minutes chacun, filmés sur une période d’environ 14 semaines entre Rimini et ses environs. Cagnàz – conçu par Carlo Lucarelli et Giampiero Rigosi – allie action, humour et tension narrative, présentant des personnages et des histoires d’une humanité à la fois profonde et inattendue dans une Rimini oscillant entre la magie fellinienne, les lumières des discothèques et l’influence omniprésente de la ’Ndrangheta.